Promenade dans les ruelles..

Lisa avait finit sa matinée de travail, la famille pour qui elle travaillait lui avait accorder une pause pour aller manger .Lisa n'avait pas beaucoup d'argent et elle ne pensait pas avoir assez pour s'acheter beaucoup à manger aujourd'hui, mais se balader lui aurait sûrement fait beaucoup de bien. Elle était passée chez elle avant de venir pour prendre Stuart son tendre petit compagnon à quatre pattes. Elle l’avait dans les bras,un sourire aux lèvres en entendant un de ses petits aboiements joyeux dont il avait le secret. Elle observa les ruelles ornées de grandes maisons.
« Je ne pourrait nous payer ça Stuart, j’en suis désolé. » Dit-elle en posant son chien par terre. Le chiot lui lançait des regards interrogateurs,il ne comprenait pas que sa maîtresse était triste,normal pour un chien. Lisa soupira, tout était devenu plus durs depuis que ses parents étaient morts mais elle n’en était pas plus triste. Elle voulait s’assumer pleinement et trouver rapidement de quoi se payer une maison comme celle-ci à Stuart et elle. Mais pour l’instant elle devait se contenter du peu qu’elle avait.

« Ne t’inquiète pas un jour j’aurais beaucoup plus d’argent et nous pourrons enfin vivre comme bon nous semblera ! » S’exclama t-elle, rivant plusieurs visages vers elle. Elle s’étira et continua de marcher, Stuart à ses côtés.

Au bout d’une ruelle elle s’arrêta et admira le petit spectacle qui se dressait devant plusieurs personnes. Un théâtre improvisé en plein air c’était bien quelque chose qui lui redonnait le sourire. A la fin du spectacle elle déposa quelques pièces dans le chapeau que faisait passé un jeune homme. C’était pratiquement tout ce qu’il lui restait pour s’acheter à manger aujourd’hui mais ce spectacle lui avait plut et elle estimait que les acteurs méritaient cet argent, sûrement plus qu’elle.

N’allez pas croire que Lisa était très pauvre, elle n’était pas riche mais elle avait juste ce qu’il fallait pour vivre ‘normalement’ parfois elle avait quelque coups durs et garder le fil n’était pas toujours facile. Surtout quand on vit avec un chien qui mange beaucoup plus que vous ! Mais jamais Lisa n’aurait mis Stuart à la rue, il était un peu sa famille à présent et elle l’aimait beaucoup plus que n’importe qui.

Donc après ce petit remontant elle continua son chemin et s’arrêta encore une fois, suivit de Stuart devant une boulangerie, elle fouilla machinalement dans les poches de son tablier blanc et en sortit quelques pièces. Elle compta les pièces puis souria en regardant Stuart.
« On a juste assez pour s’acheter un petit quelque chose à manger Stuart ! » Le chien remua de la queue devinant que c’était bien.
Lisa entra et ressortit avec deux pâtisseries, un bout de gâteau à la vanille et l’autre au chocolat. Elle donna celui à la vanille à Stuart, qui s’empressa de le manger.
Lisa ria à la vue de Stuart se goinfrant. Puis elle commença à manger son bout de gâteau tout en continuant de marcher.

Elizabeth, quand à elle, était ici, dans cette petite ville, pour acheter du ruban destiné à elle et à sa sœur. En effet, elles allaient en avoir besoin car elles allaient allés toutes les deux à un bal qui aura lieu prochainement. Normalement c’était Elizabeth et seulement elle qui allait à des bals mais cette fois elle avait décidée de demander à ses parents si Audrey pouvait aussi y aller, bien sur ils refusèrent mais avec le talent d’Elizabeth pour la conversation ils ne pouvaient que succombés.

« Merci ! Au revoir ! » lança-t-elle au vendeur alors que le carillon qui était accrochée à la porte venais de retentir ce qui signifiais qu’Elizabeth venais de sortir du magasin. Elle avait un grand sourire sur les lèvres, elle était très heureuse à l’idée de voir ses rubans sur une des robes de sa jeune sœur aveugle. Dans ses mains, Lizzie avait plusieurs rubans mais la plupart étaient blanc ou jaune très clair. Oui, la plupart des robes d’Elizabeth et de sa sœur étaient blanches, il serait donc inutile de s’approprier du ruban foncé…

Mais à force d’observer les rubans qui étaient dans ses mains, Elizabeth en oublia même qu’elle était au beau milieu des ruelles qui grouillaient de mondes. Pour l’instant, heureusement pour elle, elle ne percuta personne et n’était pas encore à terre.
Mais ce fut chose faite dans peu de temps…

« Aïe… » murmura Elizabeth qui était à présent sur le côté d’une Ruelle, à terre. Elle venais de percuter quelqu’un, mais ce n’était apparemment pas une personne caustaud. En relevant la tête elle aperçut que c’était une jeune fille, et une petite bête charmante lui tournais autour, il semblais inquiet. Elle se mordilla la lèvre avant de se relever et de faire une sorte de révérence tout en répétant plusieurs fois :
« Veuillez m’excuser, je ne regardais vraiment pas ou j’allais… »

Elle était quelque peu gênée, mais il n’y avait pas trop de dégât. Elle ramassa ses rubans, par chance ils n’étaient pas tombés dans une flaque, puis elle aida gentiment la jeune fille à se relever. Lizzie la regarda avec un étrange sourire, qui voulais dire qu’elle était à la fois gênée et désolée

Alors que Lisa se régalait avec son gâteau, quelqu’un la percuta et la fit tomber par terre, son gâteau voltigea et atterrit sur la tête d’un homme plutôt imposant. Lisa toujours à terre se soucia d’abord de son gâteau, elle baissa la tête en arrière et regarda l’homme qui avait l’air très en colère, elle lui fit un sourire très gênée et avec l’aide de cette jeune fille qui l’avait fait elle se releva, rapidement elle lança : « Non non ce n’est pas grave ne vous en faites pas. » puis elle se tourna vers l’homme et examina un peu son gâteau…Il était complètement écraser contre le crâne de l’homme chauve qui était rouge de colère. Lisa tenta de le faire rire et passa son doigt sur le gâteau qu’elle fourra dans sa bouche. « Vous savez il est délicieux… »Apparemment ça ne marchait pas et il avait l’air encore plus furieux qu’au début Lisa lui fit un sourire puis fit une espèce de révérence. « Je suis désolé, excusez moi.. » L’homme la prit par le poignet et lui lança d’un air furibond : « J’espère que ça ne se reproduira plus !! » Puis il la lâcha, et tourna des talons en s’engouffrant dans la foule.

Stuart poussait des aboiements furieux contre l’homme avant de se coller contre la jambe de sa maîtresse. Lisa soupira. « Ouf ! Nous avons eu de la chance Stuart, un peu plus et c’était la catastrophe. » Elle se baissa et passa sa main dans le doux poils de son compagnon. Puis elle se relava et mis sa main sur son ventre. « Oh maintenant je meure de faim et je n’ai plus d’argent… »Elle soupira tristement et en se tournant pour reprendre son chemin elle regarda la jeune fille qui l’avait faite tombée. « Ah merci de m’avoir aider à me relever…. »Elle lui fit un petit sourire, encore une chance qu’elle ne soit pas rancunière sinon sa aurait sûrement été très mal, elle se tourna encore une fois vers l’homme qui n’était plus visible dans la foule, alors qu’elle s’apprêtait à repartir, elle dérapa sur un bout du gâteau écraser par terre et tomba sur la sol. Elle se releva aussi vite qu’elle était tombé et rie quelques secondes. « Ah ah ah ah, je suis vraiment très maladroite ! »

Elle avait vraiment une âme d’enfant un rien lui faisait rire, pourtant Stuart était son seul ami, d’ailleurs celui-ci semblait un peu rire à son tour en poussant des jappements joyeux.. Lisa épousseta son uniforme noir et examina un peu ses chaussures pour voir si elles n’étaient pas sales, pour l’instant tout semblait aller bien à part la faim de Lisa. Sous l’œil des passants elle d’examiner sa tenue qu’elle soit sale l’aurait bien ennuyer.* Je me suis fait un peu mal quand même…* Pensa Lisa en observant les gens qui la regardaient, elle n’aimait pas ça être regarder comme une bête de foire, après tout se n’était pas sa faute si elle était très maladroite. Enfin l’avis des autres, c’était bien une chose dont elle se fichait éperdument, elle se contentait d’avoir confiance en elle et tout allait bien.

Elizabeth, quand à elle, avait eu un peu peur de cet homme qui attrapa cette pauvre jeune fille par le poignet. Lizzie avait même frissonnée devant la pression qu’il engendrait sur son poignet tout frêle. Elle n’eu pas le temps de la défendre, l’homme s’en alla et c’était tant mieux. Elle poussa un soupire de soulagement. Elizabeth l’avait entendue murmurer qu’elle avait faim, et c’était d’ailleurs à cause d’elle si ce qu’elle avait acheté, sûrement avec ses derniers sous, était tombé à terre. Elle lui lança un sourire, Lizzie compatissais. Elle regarda dans sa poche, il lui restait encore quelques penny ce qui devrais sûrement suffire.

Cependant, Elizabeth n’eu pas le temps de s’approcher. Elle lui avait juste rendue sa révérence après qu’elle l’ai remerciée de l’avoir aidée. Mais pour Lizzie tout cela était normal, elle n’était peut-être pas très riche mais son bon sens était tout de même plutôt civilisé. Et voila que la jeune fille tombe de nouveau à terre en trébuchant sur quelque chose qui fut hors de porté des yeux de Lizzie. Elle posa une main sur sa bouche et se dirigea vers elle, mais cette fois elle réussi à ce relever toute seul.

Elizabeth avait tellement pitié d’elle… Elle lui lança un sourire avant de l’emmener un peu plus loin par le bras, pour que le monde arrête de se moquer d’elle. Elles s’arrêtèrent dans un endroit ou il y avait peu de monde, Elizabeth lui lança un sourire avant de lui dire :

« Je suis vraiment désolée, si vous avez été humilier devant tout ses gens et si votre petit gâteau est tomber, tout sa est de ma faute. » elle continua de sourire, puis elle sortie les quelques penny de sa poche et lui les donna, refermant sa main en posant la sienne par-dessus. « Allez vous acheter quelque chose. » et voyant qu’elle allais refuser elle leva sa main droite pour lui dire affectueusement de se taire, puis elle continua :
« S’il vous plait, sa me fait plaisir. Moi-même je ne suis pas très riche et je compatie beaucoup votre peine, et de plus, vous avez un ami à nourrir. »

Elle faisait bien sur allusion au petit chiot qui salivait, la langue pendue, en faisant semblant d’écouter la conversation aux pieds de sa maîtresse. Lizzie recula un peu, et elle estima qu’il était temps de se présenter. Elle connaissais déjà assez le caractère de cette jeune fille pour pouvoir le faire ; oui, elle étudie souvent les caractères, défauts et qualités, de ceux qu’elle croise. Elle engendra donc une discutions dont elle commença par une petite révérence ironique.

« Je m’appelle Elizabeth Bromley. Je réside actuellement dans la demeure de Lynbourn demeure, certes, plutôt horrifiante en aspect mais j’estime qu’il est mieux d’avoir ceci que de ne pas avoir quelque part ou dormir. Ce serrai horrifiant de dormir à la rue ! »

Elizabeth espérait de tout cœur que la jeune fille ne dormais pas dehors, et si c’était le cas elle se ferai un plaisir de l’inviter à dormir une fois à Lynbourn. Et la place ne manque pas puisque le plus grand nombre de ses sœurs sont mariés et donc leurs chambres sont totalement vides.

Au bout de quelques secondes quelques rires éclatèrent, Lisa ne s’en souciait pas le moins du monde et se contentait de garder un gentil sourire en regardant Stuart qui lui semblait être très énerver par ses personnes intolérantes et moqueuses.

Alors qu’il s’aprétaient à reprendre leur chemin, Lisa se fit entrainer hors de la foule par la jeune femme, suivit, bien sur, de Stuart. Lisa ne pu dire un mot et dès qu’elles s’arrêtèrent elle observa celle-ci d’un air interrogateur. Elle semblait avoir bien pitié de Lisa, ce n’était sûrement pas par méchanceté mais Lise n’aimait pas qu’on la plaigne, elle n’estimait pas qu’elle l’était, certes elle vivait dans de conditions difficiles mais ce n’est pas parce que l’on est riche que l’on est plus heureux.

Lisa observa la jeune fille, qui lui expliquait que tout était de sa faute. Elle répondit pas pendant quelques secondes le temps pour elle de chercher une réponse possible. « Ne vous en faites pas, ce n’est pas de votre faute et puis de toute façon je me moque bien de ce que tous ces gens, peuvent pensés de moi, je ne voit pas pourquoi ça me mettrais mal alaise qu’ils rient de moi, s’ils trouvent que tomber est drôle tant mieux pour eux. » Lisa ne souriait pas mais ne manifestait pas de sentiments, son visage était neutre bien qu’un peu lasse.

Quand la jeune fille lui donna l’argent Lisa voulut refuser mais elle avait l’air bien obstiné et lui mit dans les mains sans qu’elle eu le temps de dire un mot, quand elle parvint enfin à dire quelque chose elle commença : « Excuser moi mais je refuse cet argent, je ne veux pas de traitement de faveur, certes je n’ai peut être plus d’argent aujourd’hui mais je trouverais toujours un moyen de m’en sortir, mais c’est très gentil de votre part. »
Elle lui tendit l’argent d’un air entêter, et c’était bien se qu’elle était !

En attendant sa décision elle l’écouta poliment se présenter, quand elle finit Lisa lui répondit toujours avec son air posé et sure d’elle. « Je suis Lisa Stanley, je vit à Maidstone, je travaille comme servante près d’ici. » Malgré son tempérament indifférent aux autres elle parvint à lui faire un sourire presque amicale. Stuart c’était assis depuis longtemps il ne comprenait pas ce qui se passait, pour s’occuper il commença à courir après des chevaux qui passaient, sans que Lisa s’en aperçoive. Dans sa course il se cogna contre quelqu’un, il leva la tête et aboya méchamment en voyant la tête de l’homme qui avait agresser Lisa quelques minutes au paravent.

Lisa se rendit compte de l’absence de son ami après quelques minutes, elle se tourna vers la foule sans voir son chien au début elle n’était pas trop affolée. « Stuart ? » Après quelques secondes à le chercher des yeux elle stressa quelque peu. « Stuart !! Où es-tu ?? » Elle baissa le tête pour essayer de le voir puis la releva en se cognant contre quelque chose. Ce quelque chose était l’homme qui tenait Stuart par la peau du cou .Il fit tinter sa voix en demandant : « Cette bestiole est à vous je suppose. » Lisa oublia toute politesse et s’énerva. »Oui ! Et vous feriez bien de me le rendre. » L’homme jeta Stuart à terre qui poussa un jappement plaintif. L’homme donna une grosse gifle à Lisa pendant que Stuart tentait de lui mordre les mollets...



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Elizabeth engagea un sourire quelque peu provocateur juste après que la jeune fille lui rende son argent. Elle était contente de voir qu’elle avait encore un bon morale malgré sa difficulté de vie. Elle repris donc l’argent et n’insista plus. Et ajouta :

« Un rien fait rire les gens de nos jours, et vous devez sûrement le savoir. Mais il n’est pas bon d’ignorer les gens comme ceci, cela peut vous causez des ennuis qui ne vous viendraient même pas à l’esprit. Dans une situation pareil il est vrai qu’il vaux mieux les ignorés, mais en cachant ses sentiments et non pas en en ayant point… »

Ensuite elle l’écouta se présenter à son tour, elle fut heureuse d’entendre qu’elle avait un emploie et même une maison, pourtant elle trouvais qu’elle habitais assez loin de son lieu de travail. Mais quelque chose attristais Elizabeth ; il lui semblait que Lisa était dépourvue de sentiments, surtout celui de l’amour, et pourtant c’était le plus important de tous selon Elizabeth, même si elle-même n’avait encore jamais connu l’amour fou. Elle estimait que le mariage était le meilleur moyen pour acquérir une grande fortune et de profiter pleinement de la vie, certes ; cependant elle n’était pas du genre à se marier avec n’importe qui, même si se soi-disant prétendant est doté d’une indicible fortune.

Plongée dans ses pensés, elle n’avait pas remarquer qu’elle cherchais son petit chiot, mais ses cris la firent sortir de ce quoi elle pensait. Elle n’eu pas le temps de faire quoi se sois, l’homme lâcha le chiot nommé Stuart à terre. Elle aurait voulu ajouter un mot, mais Lisa rétorqua un phrase méchamment ce qui lui valu un gifle. Lizzie, contrairement aux autres, ne s’affola pas et se contenta de marcher vers l’homme d’un pas serein, même un peu trop et cela devenait même agaçant. Dans un petit « excuser-moi » elle attrapa le petit chiot, et malgré qu’il la mordais pour pouvoir aider sa maîtresse, Elizabeth ne lâcha pas prise, au contraire, elle le serrait un peu plus fort sous chaque mordillement.

« N’est-ce pas regrettable, Monsieur, de s’attaquer à plus intelligent que vous ? » lâcha-t-elle d’un regard ironique. Puis, tout en poussant Lisa en arrière et lui tendant le chiot elle continua : « Non pas que je voudrais me montrer indiscrète ; mais il parais que les gens de votre sorte sont très mal vue dans la haute société ! » et voyant qu’il commençais à chauffer de colère, Lizzie leva une main et tourna un peu la tête avant de continuer :

« Pas d’affolement je vous prie. Qui êtes-vous au juste pour pouvoir lever la main sur une personne ! Je ne crois pas que les femmes ont le droit d’êtres traitées de la sorte, cependant vous avez peut-être raison sur un point : le méchant gâteau qui vous ai accidentellement tombé sur la tête. Heureusement pour vous que cette jeune fille n’est pas rancunière, car elle aurais pu vous demander de l’argent pour se gâteau étant donné qu’il est tomber sur votre tête. Mais à qui la faute après tout ? Mon avis est le suivant : c’est le destin ! Et même si le Destin est une pure invention de notre race Humaine, il faut tout de même croire que ce malheureux malentendu aurait très bien pu arriver à quelqu’un d’autre. Malheureusement nous sommes tombées sur vous, horrible personnage insignifiant. »

L’homme était sur le point de la gifler, Lizzie ne pouvais malheureusement rien faire. Une fois la gifle passée, le bonhomme vociféra quelques injures envers sa famille, qu’il ne connaissait point, avant de s’en aller ; il n’avait sûrement plus du tout envie d’entendre Elizabeth à l’œuvre. Cependant, son départ fit sourire Lizzie qui se retourna vivement vers Lisa en gloussant de rire.

« Il est vrai, Miss Stanley, que vous avez été d’une précision d’artiste pour envoyer se misérable gâteau sur la tête de cet homme horrifiant. Je dois donc vous féliciter. »

Même après ce malentendu, pourtant si jouissif pour Elizabeth, elle ne perdait pas son sens de l’humour. Pourtant, elle avait une vive douleur à la joue et se demandait même si une trace ne figurait pas à l’endroit de la frappe.

Lisa ne bougea pas, elle n’espérait pas que quelqu’un réagisse à cet événement, elle trouvait tout ce monde autour d’elle égoïste et ne supportait pas de les voir s’affoler comme ç a alors qu’aucun ne venait l’aider. Après tout si ils étaient vraiment affolés pourquoi ne l’aidaient-ils pas ? Elle trouvait cela complètement absurde et se contenta de fixer cet homme d’un regard méprisant.

Alors qu’elle pensait à une tentative pour partir sans non plus se faire casser un bras, Elyzabeth s’interposa entre eux. Elle semblait drôlement sereine et un peu méprisante envers ce bonhomme. Lisa fut assez soulagé qu’elle pense à Stuart mais qu’il la morde ne l’enchantait pas trop, pendant une seconde elle se duit qu’après tout, tout le monde n’était peut être pas aussi égoïste qu’elle ne le pensait.

Quand elle lui donna Stuart elle s’empressa de reculer et de serrer fort contre elle son chien, elle se massa la joue qui était rouge après cette gifle surtout sur sa peau blanche. Ce qui devait arriver arriva, Elizabeth se prit également une gifle de cet homme sous les regards stupides des passants. Lisa pensa un moment à se que la jeune femme venait de dire, elle trouvait qu’elle avait plutôt raison, elle aurait voulu faire quelque chose mais elle était sure que ça créerais encore plus de problèmes.

Finalement cet importun s’en alla, Lisa souffla de soulagement. Malheureusement elle se sentait très responsable de la gifle qu’avait reçu Elizabeth, mais elle n’avait pas de marques c’était déjà ça. Plusieurs susurrements se firent entendre quand elle tourna la tête vers la foule, elle ne s’en soucia pas et s’avança vers Elizabeth qui elle semblait rire de bon cœur.

« Excuser moi c’est entièrement ma faute si vous avez reçu cette gifle…Je n’aurais pas dû m’énerver si facilement c’était une grosse erreur.. »

Elle fit une révérence, elle ne trouvait pas ça drôle, car elle cupabilisait beaucoup à propos de ce qui c’était passé.
Elle passa sa main sur le poil de Stuart qui lui c’était enfin calmer, il aboya en direction d’Elizabeth d’un son joyeux.
« Et encore merci d’avoir pris Stuart, je crois qu’il vous aime déjà ! »
Elle consentit à faire un gentil sourire et posa Stuart par terre, qui s’assis à l’ordre de Lisa.

La douleur disparaissait peu à peu. Et Lizzie prenait sa avec le sourire, cependant il s’éteignis lorsque Lisa s’excusa. Elizabeth s’avança vers elle, lança un petit sourire à Stuart et commença à parler :

« Ne vous inquiétez pas pour moi, maintenant nous sommes quitte ; et de plus, cela donne la peau douce ! Et…, comme l’on dit, l’erreur est humaine. D’autant plus si cela est de la simple colère. » dit-elle en lui lançant un clin d’œil.

Elizabeth semblais être de très bonne humeur et plutôt joyeuse. Alors que Lisa avait l’air un petit peu trop sérieuse selon Lizzie, cette jeune fille devrait se lâcher de temps en temps et vivre les folies de la vie ! Bien qu’Elizabeth n’était pas du genre à faire la folle partout, elle estimait qu’il fallais tout de même rire de temps en temps.

« Stuart ? » demanda-t-elle en regardant le petit chiot d’un sourire joyeux. « Ce fut un plaisir de lui épargner un coup de pied. Mais il est vrai que je me demande si les mordillements sont des signes d’amitié ou… de méchanceté. » continua-t-elle ironiquement.

Elle regarda à présent le petit chiot qui semblait sourire, langue pendue et queue frémissante à côté de sa maîtresse. Elizabeth commença à marcher et fit signe à Lisa de se joindre à elle, le petit chiot suivis également. Lizzie, entre toute cette histoire, avait réussi à mettre les rubans qu’elle avait achetés auparavant dans sa poche. Maintenant, elle faisait comme si rien ne c’était passé et marchais tranquillement avec Lisa en regardant ce qui était exposé dans les vitrines. Mais elle finit par en avoir marre et engendra donc une conversation :

« Dite moi, Mlle Stanley, savez-vous qu’un bal sera bientôt donner au Palais Royal ? »

« Très bien je suis heureuse que vous n’ayez rien, je suis sure que Stuart s’en voudrait lui aussi de vous avoir fait mal. » Elle lui fit un petit sourire en ce détendant un peu. Bien sur Lisa n’était pas aussi joyeuse que Lizzie, en vérité elle était de nature joviale seulement quand elle était seule avec Stuart, sinon elle avait beaucoup de mal de se lâcher avec une personne qu’elle ne connaissait que peu ce qui était pour elle plutôt normal mais il est vrai que certains lui réclamait souvent au moins un sourire ou un signe pour savoir si c’est de leur faute si elle n’a pas l’air joyeuse. Et Elizabeth pouvait s’estimer plus qu’heureuse du sourire de celle-ci, il n’était que très rare qu’elle laisse paraître de la joie en présence de quelqu’un qu’elle ne connaissait que depuis quelques minutes.

« Je pense plutôt qu’il espérait mordre cet homme à votre place, enfin il a l’air de vous appréciez » Elle observa elle aussi Stuart qui restait assis bien sagement à côté d’elle attendant sûrement que quelque chose se passe pour pouvoir s’amuser un peu. Elle le prit dans ses bras pour vérifier qu’il n’est rien et dès qu’elle fut rassurée elle le reposa par terre avec douceur. Puis elle regarda Lizzie qui lui faisait signe de venir, elle la suivit se demandant si elle n’allait pas être en retard pour son travail… Stuart lui les suivit en restant bien près des jambes de ça maîtresse. Au bout d’un moment Lizzie engagea la conversation et Lisa lui répondit avec un petit soupire dans la voix. « Et bien pour être franche j’en ai entendue parler mais une personne de mon grade n’est pas vraiment appréciez à ce genre de soirée, il n’y aura sûrement que des ducs et des duchesses. » Lisa, elle ne voulait pas spécialement y assister, il est vrai qu’elle aurait peut être aimer s’y rendre juste histoire de s’amuser un peu mais si elle y serait c’est que ce serait sûrement elle qui porterait les plats confectionner pour ce bal. Alors elle ajouta avec une pointe de tristesse et un peu de mensonges également. « Je ne tiens pas a y assister de toute façon et de plus si j’avais la chance de pouvoir y aller jamais je ne laisserais Stuart seul. » Le chiot jappa en entendant son nom et gratta de la patte les jambes de Lisa signifiant qu’il avait envie d’être porté. Lisa le prit dans ses bras et ce tourna vers Lizzie.

►Hrpg : Désolé du retard◄